Dorian Lamotte, Violoniste
"... The playing from the Debussy Quartet is highly persuasive. Using a range of subtle shades the players overcome the absence of an organic link between movements by creating an overall mood of youthful melancholy.(...) The perfect balance between instruments opens up inner detail".
The Strad (United States)
"Au-delà d’une technique solidement possédée et maîtrisée, tout l’art des instrumentistes – Christophe Collette et Dorian Lamotte au violon, Vincent Deprecq à l’alto, Fabrice Bihan au violoncelle – aura été de créer un monde, une ambiance, faites d’homogénéité, de continuité, de musicalité, mais aussi de recueillement dans un Lacrymosa ciselé avec soin, un Tuba mirum contrasté, un Sanctus frémissant de vie, le tout conclu par un Agnus Dei aux ineffables sonorités moirées".
Anaclase (France)
"Fabrice Bihan’s cello unrolled the dark harmonic ground over which the other strings in unison streamed. The second of two melodies...was developed with exceptional intonation by leader Christophe Collette, and smoothly integrated beside the richly coloured ostinato in Dorian Lamotte’s 2nd violin and Vincent Deprecq’s viola."
Showtime Magazine (Canada)
Квартет Дебюсси на концерте в Московской консерватории (видео)
NewsTube (Russia)
"After a good account of Haydn (d. 1809, obligatory and rightly so in his special year) which had several passages for the lower players of particular interest, the rest of their hour was devoted to French rarities; the Wigmore Hall coffeee concert audience is not easily daunted, and there was a large, very receptive crowd."
Musical Pointers (United Kingdom)
"Dorian Lamotte, Master of Ceremony, French virtuoso and technical violin wizard gave direction and purpose to the performance in wonderful ways."
I Love Chile (Chile)
Le quintette avec piano de César Franck commence sous d'heureux auspices : un auditeur distrait fait sonner son téléphone, sonnerie malicieusement reprise en pizz' par le second violon, ce qui fait s'esclaffer le reste du public. Le second violon, Dorian Lamotte, ne perdra pas sa bonne humeur, et son visage reflètera fidèlement les émotions que cette musique est censée évoquer : il affiche un grand sourire réjoui avant d'entamer de belles phrases musicales un peu grandiloquentes, il se cache derrière son pupitre, tous sourcils haussés, avant un pianissimo-surprise, et prend un air méchant avant un martelé agressif. Si je n'arrive pas à m'intéresser à la musique de Franck, je prends un plaisir sans mélange à voir l'enthousiasme avec lequel ce second violon joue sa partie, qui contraste avec les mines respectivement sereines et absorbées du violoncelliste et de l'altiste. L'équipe est sérieuse sans se prendre au sérieux et on ressent le plaisir qu'ils prennent à jouer de la musique et à faire découvrir de nouvelles pièces au public.
Le Klariscope (France)